Depuis tout récemment, la pratique du tour du poteau a repris, mais avec un prix à payer : l'imposition d'une quarantaine lors de la réadmission au Canada.
Depuis tout récemment, la pratique du tour du poteau a repris, mais avec un prix à payer : l'imposition d'une quarantaine lors de la réadmission au Canada.
IRCC (Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada) l’a confirmé, ses nouveaux serveurs pourront supporter un surplus de trafic sur son site, généré par l’élection américaine. Cette réponse des autorités fait écho à la situation vécue en 2016, lorsque le site d’IRCC était « tombé », à la suite de l’annonce de l’accession de Donald Trump au pouvoir.
Conjointement à la réforme du PEQ qui avait fait beaucoup de bruit durant l'été, le Ministère de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration (MIFI) du Québec avait annoncé la mise en place de programmes pilotes, visant à l'obtention de la résidence permanente.
Me Natacha Mignon était l'invitée de Mario Dumont sur LCN, lors de l'émission du 16 octobre dernier. L'occasion de faire le point sur les obligations de quarantaine, suite au non respect de cette obligation par une travailleuse Ottavienne.
Une avocate en immigration vous partage son expérience et quelques conseils pour vous établir outre-Atlantique sereinement, même en temps de COVID-19. Entretien avec Me Natacha Mignon, Franco-canadienne et associée d'Immétis.
Toute personne, ou presque, entrant actuellement au Canada doit se soumettre à une obligation d’auto-isolement de 14 jours. Quels sont les contours de cette obligation, qui fait couler beaucoup d’encre ? Me Natacha Mignon, avocate en immigration et associée d’Immétis, démêle le vrai du faux.
Immigrer en 6 mois au Canada : est-ce réellement possible ? Bon nombre de candidats à l’immigration ne saisissent pas cette opportunité, faute de connaitre les différentes options qui s’offrent à eux. Me Natacha Mignon, avocate associée chez Immétis, démêle le vrai du faux.
La crise de la COVID-19 et les mesures mises en place par les autorités pour juguler la pandémie ont touché l’ensemble des acteurs de la société. Les employeurs canadiens, quels que soient leur taille ou leur secteur d’activités, n’ont pas été épargnés par ces mesures, et ce, incluant ceux ayant besoin de l’expertise de talents étrangers.
La question « Existe-t-il une vitalité francophone à l’extérieur du Québec ? », de Madame Denise Bombardier a suscité beaucoup de remous un peu partout au pays.
Après plusieurs mois d’incertitudes, les embauches de talents étrangers semblent reprendre. Comment le processus d’immigration est-il impacté par la crise ?